Récemment, le monopole d’action du liquidateur judiciaire a fait l’objet d’un contentieux nourri, l’occasion pour les juges de rappeler qu’il constitue une fin de non-recevoir. Un « moyen redoutable, couramment invoqué en pratique », qui rend « irrecevables les demandes formées par un créancier du fait de son défaut de qualité à agir », rappelle Aurélien Gazel dans le Journal Spécial des Sociétés (JSS)
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